fermer

f°060 - Recto | f°061 - Recto << Cote g226 - vol. 1 - f°062 - Recto -  >> f°063 - Recto | f°064 - Recto

Cote : g226_1_f_062__r____ | ID_folio : 1122 | ID_Transcription : 1007 | ID_Image : 3365

7

à remplacer les bras de l’homme par des engins mécaniques - ; il en résulte d’ailleurs de l’économie dans les frais de main-d’œuvre : on peut battre rapidement et profiter de l’élévation du cours des grains à certains moments. Il y a là de quoi tenter vos deux héros. S’ils font monter une machine à battre, que de déboires, ils se préparent : D’abordd'abord les premières machines sont de lourds instruments, encore informes, qui demandent la force de trois bons chevaux pour être mis en mouvement et dont le produit n’est pas en rapport avec le prix élevé qu’on est obligé de les payer.
Puis, quel tollé d’objurgations ! Eh ben il ne manque plus que celàcela, on veut donc nous couper les bras -- ! Voyez-vous ces bourgeois, ils veulent retirer le pain de la bouche de l’ouvrier ! &etraetc. - Sans réfléchir qu’il faut des hommes pour conduire les machines, et que (depuis l’introduction des instruments mécaniques en agriculture, le nombre des ouvriers de ferme a plus que triplé) -.Réf. bibl.
etEt on met le feu à la machine. Cet accident n’arriverait pas, d’ailleurs, que les récoltes ne pourraient suffire à alimenter l’instrument qui serait un vrai capital improductif.Réf. bibl.

Transcription : Stella Mangiapane

Page de notes de lecture

Titre de la page : 7

Texte incluant cette page
Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :