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Style troubadour
La courtisannecourtisane était voluptueusement étendue sur un lit de repos, au fond de ses appartemensappartements dans un boudoir discret. uneUne urne d’albâtre au plafond.sesSes yeux respiraient la tendresse, l’amour, tout son maintien le feu de la Passion. un sou saSa chevelure d’ébène exhalait les parfums les plus précieux. unUn souffle embaumé s’échappait de ses lèvres de rose. uneUne gaze légère laissait entrevoir deux globes de lys que soulevaient desde brûlants soupirs brûlant &et ses cuisses d’albâtre, à moitié fermésfermées, dérobaient des charmes plus enchanteurs encore. C’est dans cet appareil qu’elle attendait Valsin !Réf. bibl.trouverTrouver un titre &et un nom.- [2]
- Après avoir parcouru le vaste règne de Charlemagne
avec le flambeau de l’histoire et le fil de la
chronologie, essayons d’y revenir sur le char de la féerie, avec le
prisme magique dont les romanciers ont répandu les couleurs mensongères sur ce règne à jamais
fameux.p.pageP. 302., T.Tomet. II, MarchangyMarchangydouteuxDouteux,
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l’auteur.
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- Rococo
- Sa bouche entr’ouverteentrouverte laissait passer un
souffle, aussi pur qu’un petit vent qui aurait
traversé
un rosier –.Les bourgeois de Molinchart), Champfleury),
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