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Cote : Antibes_066_f_031__v | ID_folio : 3676 | ID_Transcription : 3673 | ID_Image : 14541
forme qui enveloppe l’idée et dont le sens doit être deviné est choisie à dessein : « les véritables symboles sont, avant et après, des problèmes non résolus. » Réf. bibl.
II. L'allégorie
Son but au contraire n’est pas de voiler mais d’expliquer. Elle représente, sous la forme d’un objet réel, les situations générales, les qualités abstraites appartenant à la vie humaine comme au monde physique. Exemples : la religion, l’amour, etc. La faiblesse de cette représentation, c’est que c’est toujours une conception abstraite revêtue de la forme vide de la personnalité. Réf. bibl.
En second lieu, sa forme extérieure, déterminée par les attributs, ne présente que des signes qui, pris en eux-mêmes, n’ont plus de sens. Réf. bibl.
III. La métaphore, l’image et la comparaison
La figure réunit la clarté de l’allégorie avec le plaisir que produit l’énigme en présentant à l’esprit une idée sous le voile d’une apparence extérieure qui a quelque analogie avec elle. Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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