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Cote : Antibes_066_f_043__r | ID_folio : 3699 | ID_Transcription : 3696 | ID_Image : 14610
4243.
À l’arrivée de l’art moderne l’homme se sépare des lois de la nature et de la société et se retire dans sa conscience. Il commence à se savoir lui-même. C'est de sa propre conscience qu’il fait sortir toutes les vérités générales de la raison, le bien, le vrai, la moralité, non comme révélations venues du dehors, mais comme ses propres conceptions et ses convictions intimes. La conscience se tourne contre la société et veut la changer. Une nouvelle forme de l’art se développe : comique d’Aristophane. Réf. bibl.
III. La satire
V. p. 362-365 – littérature vraiment nationale à Rome – Atellanes et Fescennines, perdues.Réf. bibl.
L'art ne peut rester dans ce désaccord entre la conscience humaine et le monde réel sans sortir de son propre principe. L'esprit doit être conçu comme l’infini en soi, l’absolu. Or, quoiqu’il ne permette pas à la

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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