- 4142.
- « L’agréable, en effet, est la
représentation de
l’élément particulier de l’objet, qui fait que
l’œuvre d’art ne saisit plus l’âme du spectateur
dans sa partie
profonde, mais l’intéresse par une
foule de rapports
extérieurs, en s’adressant au
côté fini de
notre personnalité. » L'art
est mis alors à portée de l’élément fini de notre
nature humaine. RĂ©f. bibl.
- Le sérieux fait place à la grâce qui n’a d’autre prétention que de plaire, au sens bourgeois du mot s’entend. La sensibilité seule est satisfaite. « Plus, par conséquent, dans le beau l’agrément domine, plus le charme produit par l’objet se détache du général et s’éloigne des idées éternelles qui seules sont capables d’éveiller de profonds sentiments dans l’âme humaine. » (p. 342) Réf. bibl.