Chapitre III. Destruction de l’art classique
- I. Le destin
-
La pluralité et la diversité des dieux en font quelque
chose
d’accidentel : la pensée les fait rentrer dans le sein
d’une puissance unique d’où tous ces dieux
dépendent.
Leur majesté divine est troublée par les actions auxquelles
ils se mêlent. Ce côté fini contredit leur grandeur.
Au-dessus d’eux pèse le destin, mais le destin est sans
forme, et sans individualité. Réf. bibl.
-
Le caractère des dieux se développe sans mesure, ils
se laissent entraîner dans les accidents
extérieurs de
la vie humaine et tombent dans toutes les
imperfections de l’anthropomorphisme.Réf. bibl.
- Regret de l’art antique = Les Dieux de la Grèce
de Schiller, la Fiancée de Corinthe de Goethe.Réf. bibl.
- Voyez, sur l’époque de transition, p. 356-358. Réf. bibl.