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Cote : Antibes_066_f_042__v | ID_folio : 3698 | ID_Transcription : 3695 | ID_Image : 14607

  Chapitre III. Destruction de l’art classique

I. Le destin
La pluralité et la diversité des dieux en font quelque chose d’accidentel : la pensée les fait rentrer dans le sein d’une puissance unique d’où tous ces dieux dépendent. Leur majesté divine est troublée par les actions auxquelles ils se mêlent. Ce côté fini contredit leur grandeur. Au-dessus d’eux pèse le destin, mais le destin est sans forme, et sans individualité. Réf. bibl.
II. Destruction des dieux causée par leur anthropomorphisme
Le caractère des dieux se développe sans mesure, ils se laissent entraîner dans les accidents extérieurs de la vie humaine et tombent dans toutes les imperfections de l’anthropomorphisme.Réf. bibl.
Regret de l’art antique = Les Dieux de la Grèce de Schiller, la Fiancée de Corinthe de Goethe.Réf. bibl.
Voyez, sur l’époque de transition, p. 356-358. Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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