fermer

f°024 - Recto | f°024 - Verso << Cote g226 - vol. 6 - f°025 - Recto -  >> f°026 - Recto | f°027 - Recto

Cote : g226_6_f_025__r____ | ID_folio : 2980 | ID_Transcription : 873 | ID_Image : 8939

Causes finales, 2

Architecte
ne dit pas créateur. (Kant)
Et l'harmonie des phénomènes de la nature ne prouve rien de plus qu’un architecte. ce sont deux questions tout à fait différentes.

On peut admettre Dieu,
sans admettre la création ex nihilo : Platon, Aristote, les stoïciens. (p. 446)
La douleur physique :
stimulant nécessaire, incitation au progrès, etc. (p. 453)
Pas de beauté dans la nature
Nos jugements sur le Beau sont subjectifs. (Kant) (p. 467)
La finalité est une hypothèse.
Rien ne nous autorise à supposer qu’elle ait un fondement objectif dans la réalité. (Kant) (p. 470)
Pourquoi l’intelligence serait-elle en dehors de la Nature ?
L’industrie de l’homme est externe ; l’industrie de la nature est interne. (p. 483)
Un être organisé possède en lui une vertu formatrice.
Différence des œuvres de la nature et des œuvres de l’art. (p. 484)
Le créateur, à grand renfort d’appareils compliqués,
atteint de très petits buts. – Organes des animaux. (p. 521 et suivante)
Le panthéisme moderne
plus favorable à la poésie que l’ancien déisme. (p. 544)
Prévision de Dieu
(p. 561)
Le platonisme,
admettant les idées détruit toute sagesse dans l’Être suprême. Tout était prévu et combiné d’avance dans sa pensée éternelle. Il n’a eu rien à faire qu’à copier ce modèle éternel. (p. 585)
Dieu, avant de créer le monde, a créé l’idée du monde.
Différence entre les vérités et les essences. (p. 588)
La loi de Cuvier, défectueuse  (corrélation des organes)
Blainville : dent de tapyrium giganteum, et quand on a trouvé la tête entière avec des dents absolument les mêmes c’était celle d’un dinothérium. (p. 615)
Les parties des naïades, des hydres, pouvant se couper et se reproduire, ne sont pas réciproquement les unes aux autres moyens et buts. (p. 616)
Loi des connexions
de Geoffroy Saint-Hilaire. (p. 625)
Philosophie Sankhya (p. 637)
L’âme n’est qu’un spectateur.
La philosophie ancienne
(sauf les épicuriens) est dominée par le principe des causes finales.
La philosophie moderne
est dominée par les causes physiques et les causes efficientes.
L’étendue n’est pas l’essence de la matière,
mais il y faut de la force. (Leibnitz) (p. 651 et suivante et p. 652)
Pour les cartésiens, le mouvement est quelque chose de substantiel, d’absolu, comme une entité.
Pour Leibniz, le mouvement n’est qu’un phénomène.
La seule chose réelle, substantielle, absolue c’est la force.
Scepticisme
Causes contraires produisant le même effet. Passage de Platon. (p. 713)

Transcription : Atsushi Yamazaki

Page de notes de lecture

Titre de la page : Causes finales, 2

Texte incluant cette page
Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :