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Cote : g226_1_f_067__r____ | ID_folio : 353 | ID_Transcription : 1012 | ID_Image : 1058
D’abord ont peur de s’enfoncer. vont doucement.
Économies d’ustensiles,
Ă©conomies de binage,
Ă©conomies de personnel,
Ă©conomies de nourriture,
et pressés d’avoir de l’argent vendent les fourrages.
Comme il en faut pour leurs bestiaux carottes, mais enfouies trop profondément, topinambours qui envahissent tout.
N'ayant pas d’engrais puisqu’ils se sont privés de la paille obligés d’acheter des tourteaux mais ça ne mord pas.
Les blés donnent peu.
Ils les sèment plus et trop dru. Les blés versent.
L'année suivante, excès de fumier trop frais.
Chaulage, – qui empoisonne.
Échardonnage trop tard.
Redoublent de soins, mécanique dans les trèfles et râteau à cheval dans les sainfoins.

Pour n’être pas volés travaux faits à la tâche et à la journée.

Transcription : Stella Mangiapane

Page de « note de notes » ou fiche de synthèse (orientée vers les scénarios du « premier volume »)


Notes

1Les fos 67r à 70r sont des pages scénariques concernant le premier volume de Bouvard et Pécuchet, composées à partir d’informations issues de différents ouvrages préalablement consultés et pris en notes par Flaubert (d’où leur proximité typologique avec des « notes de notes »). Toutefois, la présence de détails que l’écrivain n’a pas mentionnés dans ses notes de lecture semble indiquer, dans plusieurs cas, un retour direct aux ouvrages que Flaubert avait alors visiblement encore sous la main.

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