- [1]
- Styles.
classiques
Racine - Le fier Assuérus couronne sa captive etEt le Persan superbe est aux pieds d’une
Juive !Réf. bibl.
- [2]
- [Styles]
[classiques]
[Racine] - La mort m’avait ravi les auteurs de mes jours.Réf. bibl.
- [3]
- [Styles]
[classiques]
[Racine] - répandusRépandus sur la terre, ils en couvraient la face » !  (lesLes juifs)Réf. bibl.
- [4]
- [Styles]
[classiques]
[Racine] - Assuérus
ceCe mortel qui montra tant de zèle prpour moi vitVit-il encore ? - Asaph.
iIl voit l’astre qui vous éclaire.Réf. bibl. - [5]
- [Styles]
[classiques]
Athalie - Il (Dieu) donne aux fleurs leur aimable peintureRĂ©f. bibl.
- [6]
- [Styles]
[classiques]
[Athalie] - uneUne voix seule
D’un joug cruel il sauva nos aïeuxlLes nourrit au désert d’un pain délicieux iIl nous donne ses lois, il se donne lui-même p.pourPour tant de biens, il commande qu’on l’aime » (l’L'eucharistie !!!)Réf. bibl. - [7]
- [Styles]
[classiques]
[Athalie] - Athalie (Ă Joas
Les Plaisirs, près de moi vous chercheront en foule !Réf. bibl. - [8]
- [Styles]
[classiques]
[Athalie] - Ainsi, l’on vit l’aimable Samuel cCroître à l’ombre du tabernacle (Samuel.)Réf. bibl.
- [9]
- [Styles]
[classiques]
Mithridate - Mithride Ă Monime.
Madame, enfin le ciel près de vous me rappelle etEt secondant, du moins, mes plus tendres souhaits, vousVous rend à mon amour plus belle que jamais. »(galanterieGalanterie)act.acte 2 sc.scène IV. - [10]
- [Styles]
[classiques]
[Mithridate] - Jusqu’ici la fortune &et la victoire même
Cachaient mes cheveux blancs sous trente diadèmesRéf. bibl. - [11]
- [Styles]
[classiques]
[Mithridate] - qQuoi ! des plus chères mains craignant les trahisons
jJ’ai pris soin de m’armer contre tous les poisons
jJ’ai su, par une longue &et pénible industrie,
dDes plus mortels venins prévenir la furie ;
Ah ! qu’il eût mieux valu, plus sage &et plus heureux,
eEt repoussant les traits d’un amour dangereux
nNe pas laisser remplir d’ardeurs empoisonnées
uUn cœur, déjà glacé par le froid des années !
dDe ce trouble fatal par où dois-je sortir ?Réf. bibl.