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- Styles.
classiques
Racine - Le fier Assuérus couronne sa captive Et le Persan superbe est aux pieds d’une
Juive !Réf. bibl.
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- La mort m’avait ravi les auteurs de mes jours.Réf. bibl.
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- Répandus sur la terre, ils en couvraient la face » !  (Les juifs)Réf. bibl.
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- Assuérus
Ce mortel qui montra tant de zèle pour moi Vit-il encore ? - Asaph.
Il voit l’astre qui vous éclaire.Réf. bibl. - [5]
- Athalie
- Il (Dieu) donne aux fleurs leur aimable peintureRĂ©f. bibl.
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- Une voix seule
D’un joug cruel il sauva nos aïeuxLes nourrit au désert d’un pain délicieux Il nous donne ses lois, il se donne lui-même Pour tant de biens, il commande qu’on l’aime » (L'eucharistie !!!)Réf. bibl. - [7]
- Athalie (Ă Joas
Les Plaisirs, près de moi vous chercheront en foule !Réf. bibl. - [8]
- Ainsi, l’on vit l’aimable Samuel Croître à l’ombre du tabernacle (Samuel.)Réf. bibl.
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- Mithridate
- Mithride Ă Monime.
Madame, enfin le ciel près de vous me rappelle Et secondant, du moins, mes plus tendres souhaits, Vous rend à mon amour plus belle que jamais. »(Galanterie)acte 2 scène IV. - [10]
- Jusqu’ici la fortune et la victoire même
Cachaient mes cheveux blancs sous trente diadèmesRéf. bibl. - [11]
- Quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons
J’ai pris soin de m’armer contre tous les poisons
J’ai su, par une longue et pénible industrie,
Des plus mortels venins prévenir la furie ;
Ah ! qu’il eût mieux valu, plus sage et plus heureux,
Et repoussant les traits d’un amour dangereux
Ne pas laisser remplir d’ardeurs empoisonnées
Un cœur, déjà glacé par le froid des années !
De ce trouble fatal par où dois-je sortir ?Réf. bibl.