Fragments et références bibliographiques exactes |
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Détermination des Facultés. Socrate attribue aux sens la connaissance des objets particuliers - et à la raison Connaissance des phénomènes intérieurs, la mémoire du passé, la prévision de l’av et aussi la formation des idées générales & abstraites qu’il appelle la dialectique. Platon pense que la conception d’un objet absent est indépendan du corps. Aristote, les scholastiques & Descartes disent qu’elle ne peut exi qu’à l’aide des organes corporels et ils en font un sens intérieur qu’ils oppose à la vue, à l’ouïe, etc nommés sens extérieurs parce que leur organe paraît au « pr classer les facultés de l’âme d’après l’intervention du corps dans le exercice, il faut que les rapports de l’âme & du corps soient parfaitement conn et pr cela il faut étudier le corps,mêler l’anatomie & la physiologie &à la psycholog
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 46-48.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°3]
Mais sans rien nier l’importance du rapprochement de ces trois sciences pensons qu’il est d’abord nécessaire de les établir chacune séparément. Il fau donc essayer de classer les facultés de l’âme par les caractères qu’elles présenten en elles-mêmes, sans considérer d’abord l’entremise des organes corporels. » 48.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 48.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°4]
Descartes applique le nom de pensée à tous les actes de l’âme. De nos pen les unes ont l’âme elle-même pr origine ; les autres sont causées par le corps.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 52.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°5]
L’ancienne division des facultés de l’âme en sens & raison a l’inconvénien ne pouvoir classer le souvenir & l’imagination des objets corporels. De plus, elle sépa de l’intelligence les connaissances obtenues par les Sens extérieurs & elle confond avec ces derniers tous les penchants, toutes les inclinations de la nature humaine. Enfin, e ne met en évidence ni la faculté que l’âme possède de mouvoir le corps, ni le vrai ca de la volonté, c’est-à -dire la liberté.
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 55.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°6]
Garnier propose de ranger les facultés sous ces quatre titres 1° la Faculté mot 2° les inclinations 3° la volonté, 4° l’intelligence ou les facultés intellectuelles. (5
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 55.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°7]
Les phénomènes de l’âme & ceux du corps n’ont pas d’influence les uns sur les autres ils ne sont réciproquement que des occasions à propos desquelles Dieu intervient et fait correspondre les mouvements du corps aux desseins de l’âme, les idées de celle- aux mouvements de celui-là . - Dieu exécute dans notre corps les volontés de not âme. ( 81).
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 81.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°8]
à propos de l’âme des Animaux. // La manière dont Descartes a expliqué l’âme des animaux par un principe purem mécanique a donné des raisons aux matérialistes. Ils n’ont eu qu’à appliquer son systèmeses arguments à l’âme humaine. (86)
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 86.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°9]
Les animaux n’ont pas d’idées morales. par conséquent ils ne doivent pas av d’âme. Dieu ne les a pas destinés à une autre existence que l’existence terrestre
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 88-89.
Dans: Traité des facultés de l'âme - 1852 Voir la citation (1 occurrence) |
[n°10]
Matérialisme de Leibnitz. & de Garnier pour le bon motif // Leibnitz (& Garnier) pense que l’âme ne sera jamais sans quelqu’espèce de corps. – elle aura toujours à conduire une étendue plus ou moins pure, une sorte de mati transfigurée. cette conservation d’un corps épuré doit donner « plus de fermeté et de lumière à notre espérance d’une vie à venir » (90) // C’est le périsprit de Mirville, l’âme des Pères de l’église
Référence exacte :
Garnier, A. - Traité des facultés de l'âme - t. 1. - p. 89-90.
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