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Cote : Antibes_066_f_007__v | ID_folio : 3629 | ID_Transcription : 3626 | ID_Image : 14400
Sérénité dans l’art classique – sérénité dans l’art romantique (p. 133-134). Voyez ce qu’il dit sur le rire dans les larmes.Réf. bibl.
II. L'idéal peut se présenter comme quelque chose de purement extérieur et de formel.
Le fond peut être emprunté à la vie commune ou complètement indifférent. – Peinture hollandaise. Réf. bibl.
En outre de ce que l’art rend aux objets une valeur qu’ils n’ont pas, il les idéalise encore sous le rapport du temps en fixant pour la durée ce qui dans la nature est mobile et passager.
Ce qui existe dans la nature est quelque chose de purement individuel et de particulier.  La représentation au contraire est essentiellement destinée à manifester le général. L’œuvre d’art n’est pas une simple représentation générale mais cette idée incarnée, individualisée.
RĂ©f. bibl.

L'art doit, sans sortir des limites de l’individualité vivante, et sensible, laisser percer en lui-même ce caractère de généralité. « L'artiste saisit seulement les traits vrais conformes à l’idée de la chose et s’il prend la nature pour modèle ce n’est pas parce qu’elle a fait ceci ou cela de telle ou telle façon, mais parce qu’elle l’a bien fait. »Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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