- painPain de seigle
- graineGraine de lin, farine de févolesféveroles &et de vesces.Réf. bibl.
- à À Poitiers on en vendait colorés par le vert-métis (arsénite de cuivre).
unUn seul aurait suffi prpour empoisonner un enfant.Réf. bibl. papiersPapiers verts de tenture
- préparés avec de l’arsénite de cuivre., - rendrendent les appartemtsappartements dangereux - maux de tête.
enEn 1848 -, la régence de Cologne a interdit l’arsenic prpour la peinture des papiers.Réf. bibl.
- mêmeMême observation. Liebig cite un homme qui pendant des années avait une
éruption au front,
causée par une visière de casquette. L’éruption disparut
avec le changement de coiffure.(p.page 174)
- de Suède, ou papier Berzélius est le meilleur.(p.page 178)
- de la gélatine au lieu de gomme. - laLa pâte à la gélatine ne se dissout pas dans
l’eau. elleElle a l’apparence d’une couenne de lard.Réf. bibl.
- = pois gris commun, semé tardivement. PrPour leur donner de la fraîcheur, on les fait
bouillir dans une infusion de vert-de-gris &et d’urine.Réf. bibl.
- en poudre, mélangé avec une denrée connue sous le nom « d’épices d’auvergneAuvergne » &et composée
de poudre de pain de chènevis, fécule grise &et pellicules de poivre. uneUne Maison de Paris
a sur son enseigne « magasinMaison d’épices d’auvergneAuvergne ».(p.page 194)
- cultivée, en France depuis 1765. Vandermonde en envoya au Jardin du roi,
Ă Grosbois, en
Bretagne, en Dauphiné.Réf. bibl.
- – qui ont servi, innocentes, d’après Orfila, Serres &et SoubiranSoubeiran.(p.page 275)
- à À Paris un manège fut utilisé p-pour la pulvérisation de la pierre à plâtre, et vendu
dans le commerce sous la dénomination
« de poudre à mêler au sel ».Réf. bibl.
- simples ne sont formés que de sucre &et d’eau ;
composés contiennent plusieurs substances, outre le sucre qui en fait la base.
onOn a essayé dans les hôpitaux du sirop de fécule !Réf. bibl. siropSirops de groseille
- sont allongés avec de la glucose, ou préparés avec l’acide tartrique &et une matière
colorante, étrangère à la groseille.Réf. bibl.
- onOn substitue qqfoisquelquefois l’acide tartrique au suc de limons ou d’oranges.Réf. bibl.
- autres fleurs : telles que pied d’alouette, pensée tricolore, ou iris de Florence p-pour lui
donner l’odeur de la violette.Réf. bibl.
- falsifié, avec de la glucose ou sucre de fécule, de la craie, du sable, du plâtre,
différentes
farines.Réf. bibl.
- « de contrebande » regardé à tort comme meilleur.
tabacTabac à chiquer, on y a fait macérer un mélange de sulfate de cuivre &et de sulfate de fer.
Tabac à priser, potasse, salpêtre, vinaigre, sel ammoniac.Réf. bibl.
dansDans l’hygièneÂ
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