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Fanage des foins
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Dans les pays montagneux
&
humides, p. faire sécher le trèfle, on l’expose sur des piquets
munis de crochets, sur lesquels on met le trèfle vert pr que l’air le pénètre de toute part. -
Les javelles sont les brassées de tiges laissées sur les champs telles qu’elles y ont été
déposées par les
moissonneurs ou couchées par la faux. le but est de maintenir les tiges de blé par leur
contact avec le sol & l’absorption de la rosée, dans un état moyen d’humidité tel que
la sève continue à circuler dans la plante & que le grain achève de grossir & de mûrir
Sympathie
&
antipathie du froment
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Les plantes qui consomment une gde quantité de nourriture azotée laissent la terre appauvrie
et peu propre Ă produire des grains. tels le tabac, les betteraves, le chanvre
après des pommes de terre, des topinambours, des fèves le froment peut trouver la terre
trop appauvrie de potasse, quoique renferment une dose d’azote suffisante pr les
grains surtout si on a enlevé les tiges. il faut alors suppléer à cet appauvrissemt
par des engrais alcalins surtout par les cendres qui rétablissent le terrain -
Le voisinage de l’épine-vinette est une cause de rouille p. les champs – on ne sait pas prquoi
(- 663
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Seigles – dans les terres manquant de calcaire
&
qui repoussent le froment
( 677
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Avoine – brave tous les sols -
&
surtout la sécheresse.
Sur les défrichemts remplis de matéria
ligneux, sur les fumiers récents & pailleux le froment réussit mieux après l’avoine
qu’en première récolte. ( 707. -
Fèves – terrains argileux, tenaces
&
humides. Sa maturité est précoce.
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pois donné aux bestiaux leur procure une graisse fine.
Mais le pois continue à se nourrir par ses racines après la pousse des feuilles
d’où surabondance de végétation herbacée aux dépens des fleurs & qui parfois même les
étouffe. il résulte qu’on ne doit pas les trop fumer. - C’est ce qui fait que la cultu
des pois ne peut que par exception être une récolte riche.
le pois doit être placé sur un terrain sec plutôt qu’humide, & léger plutôt
que fort. -
les lentilles préfèrent un terrain sec
&
mĂŞme graveleux,
&
ne réussissent pas sur un sol
compact.
t IV.
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Maladie des pom. de terre comme dans les Andes, qui est son pays natal. (d’orbigny). (voy. Raspail) -
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goût d’huile, qui inspire de la répugnance.
( 69
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erreur des cultivateurs croyant que toute espace qui ne produit pas des végétaux
de commerce est perdu pr eux.
difficulté de l’extirper. cependant il ne résiste pas à deux fauchages de sa
tige dans l’année -
est refusé par les porcs -
mais Mr
Dujonchay les y a accoutumés en les
prenant par la famine. - ils en mangent très bien les tubercules en
fouillant un champ.